paweł † i wish my name was clementine

Invité

« it's all you know, you know you'll never regret your open arms, they only seem to surrender all that matters »

Nom Complet / tomek paweł kłosowski Âge / vingt-et-un ans Date de Naissance / dix-huit septembre. Lieu de Naissance / gdynia, pologne. Localisation / londres Profession ou Études / il trace quelques lettres sur des bouts de papier déchirés. Situation Financière / plus ou moins fauché en fonction du temps Orientation Sexuelle / sans avis. Statut Social / célibataire endurci Groupe / jefferson airplane Échappatoire / vicieux. Avatar / marcin ziółko.

Un peu plus sur vous

Signe distinctif / éternel maigrichon, aux bras plus ou moins déchirés par les aiguilles. La drogue, ajoutée à ses traumatismes passés, ont d’ailleurs plus ou moins facilité l’apparition d’hallucinations plus ou moins fréquentes chez Paweł, chose dont il n’a pas réellement conscience.
Phobie, Manie, Tic / il est boulimique. Il vit pour manger, puis régurgiter ses tripes.
Langue(s) parlée(s) / anglais et polonais.
Origines / polonaises, du côté de sa mère. On suppose pour le père, puisqu’il a disparu de la circulation aussi vite qu’il y était arrivé.
Religion / il n’y a pas plus de dieu que de chance d’être parfait.
Opinion Politque / sans idéaux. Parce que bien qu’il faille lutter contre la tyrannie, les hommes n’auront jamais la science de résister au pouvoir. Il n’y aura pas d’égalité, pas d’espoir.
Modèle, Idole, Inspiration / on trouve l’inspiration en toute chose. L’homme s’est forgé cette notion de modèle pour se rassurer. Elle n’est d’aucune autre utilité.
Style Musical / grunge, rock et ses dérivés.
Musicien favori / alice in chains, bien que les goûts dérivent. On s’attache, se détache, s’accroche, s’immole.
Chanson favorite / ku przyszłości de dezerter, en rude concurrence avec heroes, de david bowie
Auteur favori / il ne s’attache pas véritablement aux auteurs. Chacun a sa propre façon de manier la plume.
Livre favori / l’étranger d’albert camus
Réalisateur favori / steven spielberg
Film Favori / gremlins.
Devise / il faut vivre pour manger.
Objet fétiche / une vieille montre à gousset, tombée on ne sait comment en sa possession.
Plus grande peur / il y a cette crainte, cette trouille bleue de la revoir, elle, ses longs cheveux bruns jamais coiffés, son odeur alcoolisée, ses cris fous, son corps nu contre le sien, ses mains sur sa peau, l’horreur d’une mère dépravée.
Plus grand secret / quiconque s’y attachera un peu plus que la moyenne, quiconque s’y attardera un peu de trop pourrait aisément le percer : il est boulimique.
Plus grand rêve / au désespoir des illusions, on ne peut mener qu’une vie sans but

appliqué anxieux
délicat complexé
discret désorganisé
généreux influençable
intuitif introverti
ouvert d’esprit se sous estime
rêveur légèrement paranoïaque
sensible renfermé
timide stressé

Vous et le Wasteland

Que pensez-vous du Wasteland / J’aurais voulu m’enfoncer dans des champs d’où s’échappent des Isabelles multicolores, et où la vie n’a plus aucune importance. C’est un monde sans précédent, une vie dans l’espérance même du néant. Le rêve d’une renaissance, d’une plénitude courant à son apogée.
Comment l'avez-vous découvert / Je me suis souvenu des cachets qui roulaient entre mes doigts. De l’ivresse même de mes sens, à cet instant-là. Je les ai avalés, un par un. J’ai tenu à faire durer le plaisir, cette fois-là. J’ai oublié le réfrigérateur qui frappait contre le mur. Et je me suis laissé partir, sans réel quête d’un quelconque point d’arrivée. Et les choses m’ont entraîné, à leur bon gré …
Que pensez-vous du Gourou / Le silence d’un père sans nom, le pacifisme d’un rêve sans illusion. C’est le messie des anges, probablement. Mais peut-être n’avons-nous pas à nous en soucier. Peut-être que les choses sont faites ainsi pour être modelées à notre propre gré, sans nous inquiéter des ravages passés …
Que pensez-vous de votre Guide / Il y a une certaine beauté à accorder au désespoir des choses. Le monde n’est pas conçu pour être mis à feu et à sang. Ici se trouve probablement la chance de réparer les erreurs passées, ou, tout du moins, de ne pas les recommencer. Ces deux êtres étranges l’ont probablement bien compris. L’histoire d’un monde est faite de lignes de sang provenant d’âmes désillusionnées.
Parlez-nous de votre échappatoire / La fumée blanche du chanvre pour oublier, la dmt pour redonner de l’éclat aux couleurs d’un monde si terne, les cachets pour ne plus manger. La cocaïne pillée, l’euphorie de l’héroïne, les lignes qui se dessinent. Les bad trips pour incruster au fin fond de sa conscience qu’il ne faudrait recommencer, l’ivresse des bons moments pour tout retenter. La crainte de te sentir rattrapé, l’envie de prendre une longueur d’avance sur ton passé. Les quantités qui s’accumulent, augmentent, et les papiers de la reine qui s’envolent. La politique du toujours plus et de la consommation à outrance. Le souffle rapide, le cœur qui bat la chamade, tes yeux de sang. Ton corps qui se décompose, tes rêves qui se métamorphosent, ta vie qui lutte contre tes souffrances à chaque instant. Et tu te noies dans les substances comme tu ne t’y étais jamais noyé, perdu dans un factice sentiment d’éternité.

Derrière l'écran

Pseudo / bad.blood. Prénom / anaïs. Âge / seize ans. Pays / france. Présence / cinq jours sur sept, et je réponds généralement le week-end. Avis sur le forum / il a quelque chose d’inexplicablement charismatique. C’est une pierre précieuse dans une mine de bronze, un cœur de montagne. Si spécial, si différent, avec des avatars bien plus qu’originaux. Comment t'es arrivé ici? / l’histoire de dingue. Ou pas. J’ai eu la curiosité de chercher des avatars d’Alban Blondiaux, une fois. J’suis tombée sur le forum, parce que y’avait marqué « take a kayak » dans un titre, et que, comme j’en fais, ça m’a fait marré. Mais j’ai pas vraiment cherché à pousser l’exploration. Puis, là, j’ai à nouveau cherché des avatars. J’ai vu des gifs de Cooper. Et encore ce « take a kayak ». Neo, j’aime bien tes gouts, au passage. C’est dit. Puis vous avez tous des bons goûts, même. Et, donc, j’suis retombée ici. Je me suis attardée sur le header. Je l’aime bien, parce que même s’il semble s’inspirer de ceux qu’on a l’habitude de voir, il a une dose d’originalité que je n’arrive pas à percer. J’ai regardé des scénarios. Y’en avait des cools, d’ailleurs, mais, j’suis pas assez sûr de moi me lancer là-dedans, en général. Puis j’ai lu le contexte. Et dans ma tête, ça a commencé à dérailler. Et comme j’avais déjà une petite idée de personnage dans ma tête, je me suis dit qu’ici, ce serait plus que parfait. Ange ou Démon? / j’suis au purgatoire, dans l’attente d’un quelconque jugement. Double-Compte / nonUn p'tit mot en plus / l’gars du header, avec les colibris (j’crois que c’est ça, je m’y connais pas trop en oiseau), j’me souviens plus d’son nom, mais il est sexy.

Invité

« waste me, rape me my friend. »

Histoire

Sa main sur ta cuisse. Ses lèvres dans ton cou. Tu respires la peur. La tienne. Tu as envie d’hurler. De te débattre. La repousser. L’idée te monte au cerveau, lentement. Mais sous tes maigres forces d’enfant, tu n’arrives à rien. Tu assistes impuissant au retrait de tes vêtements. Tu pousses quelques gémissements perçants. Sa main vient gifler ta peau, t’arrachant des larmes. Tu piailles son nom devant tant d’incompréhension. Enfant désabusé. Le poids de son corps t’écrase. Tu gémis promptement en sentant les cheveux longs de ta mère contre ton torse. Les choses se sont enchaînées, sans que tu ne les comprennes vraiment. Tu ne te souviens même plus de comment tu étais arrivé ici. Tu ne devines même pas pourquoi ses caresses avaient autant dérapées. Tu as émis un nouvel hurlement, avant de plaquer tes mains contre tes oreilles, dans une vaine tentative pour couvrir les bruits étranges que crachait ta génitrice. Ton corps s’est cambré, alors que tu tentais de te recroqueviller sur toi-même. Tout ton être réagissait de façon inhabituelle. Tu as fermé les yeux aussi forts que tu pouvais. Pour ne plus la voir. Tu ne pouvais t’empêcher de percevoir ses jambes qui te broyaient les hanches. Ses ongles ont griffé ta peau. Tu t’es senti déchiré de part en part, perdu au milieu des flashs d’une conscience qui allait et venait. Et alors, les cris se sont finalement tus. Tu as ouvert une paupière, hésitant. Devant ton manque de plaisir et tes larmes, elle a décidé de laisser sa main frapper ta joue. Le goût amer du sang a envahi ta bouche. Tu n’as même pas réussi à pousser un cri, trop perturbé encore. Sa main a tiré tes cheveux, alors que des hurlements hystériques lui déchiraient la gorge. Tu as tenté encore une fois de protéger ton corps de ses coups pris de folie. Un voile noir s’est alors abattu devant tes yeux. Et tu as perdu la tête, soumis à l’esprit de ta mère déchainée.

« i wish you could swim »

Histoire

Ton corps a frémis, en même temps que tu frôlais les murs, toujours aussi peu rassuré dans cette maison. Ton nouveau chez toi, et ce depuis un moment déjà. Tu avais beau avoir écouté, lorsque tu étais plus jeune, la psychologue, et entendu ses promesses comme quoi tu n’avais rien à craindre et qu’ils ne te feraient aucun mal, tu n’y croyais pas. Tu étais certain qu’ils attendaient la première occasion pour t’abandonner sur le bord d’une route. C’était immanquable qu’ils se soient foutus de toi dès le début. Surtout quand tu ne pigeais encore rien à leur charabia. Bien que l’on avait pu noter un minuscule effort de la part de ta nouvelle maman, puisque c’est ainsi qu’ils te l’avaient présentée, pour comprendre tes piaillements, t’adresser quelques mots dans ta langue natale et t’aider à te fondre dans cette famille inconnue. Tu te souviens encore de ton visage tuméfié. Du regard étrange que t’avais adressé la maîtresse, lorsqu’elle t’avait vu arriver tout seul, tête baissée. Elle n’avait pas tardé à te prendre à part, alors que les autres filaient en récrée, pour te parler. Pour te questionner. Et tu t’étais senti obligé de tout raconter. Tu n’es jamais rentré chez toi, après ça. Et, après un enchaînement de choses trop rapide à ton goût, encore une fois, tu t’es retrouvé ici. Perdu au milieu de nulle part, isolé dans une jungle à laquelle tu ne connaissais aucun arbre. Tu te souviens qu’on t’avait dit que ta mère avait été méchante avec toi, mais au final, tu ne savais plus trop ce qu’il fallait croire. Elle, au moins, comprenait ce que tu disais. Et bien que ses mots ne soient pas toujours vraiment rassurants, tu t’y attachais. Alors, tu attendais. Tu attendais, des jours et des nuits durant, assis sur le rebord de la fenêtre, que les choses changent. Dans la noirceur de la nuit, tu ne craignais que les pas silencieux de Gladwyn. Tu l’avais toujours trouvé mauvais. Rien en son regard ne t’inspirait. Tu détestais sa manière de t’observer. Tu avais la sensation qu’il lisait en toi comme dans un livre ouvert, et que, loin de t’aider, il s’en servait pour mieux t’enfoncer. Tu as perdu ton regard sur les néons qui illuminaient la ville. Tu le sentais capable de te pousser dans le vide.

« when the lights go out you will understand. »

Histoire

Tes doigts au fond de ta gorge. Tu rejettes chacun de tous ces trucs que tu as réussi à avaler. Tremblant, tu te souviens avoir gobé les trois pizzas. Le plaisir de la faim soulagée fut de courte durée. Tu ne t’en rendu compte de tes actes que lorsque tu as aperçu les vestiges des cartons sur la table. Un haut-le-cœur t’as alors saisi. Tu as couru vomir le surplus de nourriture. Et, honteux d’avoir ingurgité à outrance, tu as laissé carte blanche à tes doigts pour aller chatouiller les tréfonds de ta gorge. Et, dans un soubresaut, tu as craché le reste de tes tripes au fond de la cuvette. Tu t’es vidé l’estomac, et tu n’as arrêté que lorsque le goût amer de la bile a envahi ta bouche. Tu t’es redressé, alors que deux grosses perles salées roulaient sur tes joues. Tes pas t’ont guidé jusqu’à l’armoire à pharmacie. La tienne. Tout à toi. Tu as fait rouler au creux de ta paume deux de ces pilules multicolores qui te coupaient la faim. Ta langue est venue les cueillir, et tu as filé t’asseoir sur le canapé. Tes doigts ont mélangé la diméthyltryptamine au reste de ta cigarette. Tu as roulé le papier, et tu en as amoureusement pris une bouffée. Explosion de couleurs. Des formes vives ont brillé de mille feux, alors que ta tête basculait en arrière, enivrée par tant de fumée. Et tu t’es senti hors de ce monde. Tu as parcouru un champ de blé rose, et tu t’es enfoncé dans une plaine de guimauve bleutée. Tu t’es vaguement souvenu que ce n’était pas la première fois que le trip te semblait aussi réel. Les choses n’avaient plus d’importance, désormais. Tout semblait si agréable, par ici. Tellement. Tu savais que les mots viendraient d’eux-mêmes. Qu’ils se battraient pour être tracés sur les feuilles de papier. Tu sentais presque déjà le grain fin sur tes doigts. Ton dos s’est allongé paisiblement sur la surface molle et malléable. Tu as laissé tes doigts s’y faufiler, alors que tes yeux se perdaient dans l’immensité du ciel coloré. Les nuages de coton ont semblé se rapprocher, un instant. Tu as fermé lentement les yeux, emporté par ce calme plaisir. Tu t’es senti à la plénitude de ton existence, au zénith d’une vie malmenée. Je veux me noyer sans crainte dans la beauté de mes idées folles, me perdre dans les branches immuables de cette infinie farandole.

Invité

mondieu, une attaque de compliment ** j'suis contente que mes créations t'aient mené jusqu'ici, va. J'espère que tu t'y plairais, et j'aime le début d'ta fiche ♥
Bon courage et surtout, hésites pas pour les questions.

Comment les compliments ils donnent du plaisir dans mon cœur.

Encore un beau gosse paweł † i wish my name was clementine 3166301656

Bienvenue par ici joli damoiseau, et bon courage :D Et puis merci mille fois, parce que j'adore les compliments face

Tu connais le type du header? C'est qui? :3 J'suis d'accord, il est sexy, mais j'ai jamais demandé à notre graphiste, en fait mouhahahaha.

Si t'as des questions ou que tu veux forniquer, tu peux me mp, ma boite t'es ouverte.

Invité

C'est vous qui êtes gentils ! Merci beaucoup !

J'me souvenais plus de son nom, mais je me souvenais du comment je l'avais trouvé donc .. C'est Juani Billoch, il me semble. :dance:

il est né le divin enfant

et bien je crois que les félicitations sont à l'ordre du jour, camarade ! en effet, ma divine personne (non non je me la pète pas) a jugée que ta fiche était digne de te laisser rejoindre cette petite enclave paradisiaque qu'est teenage wasteland et j'espère que tu te plairas parmi nous et que tu pondras de merveilleux bébés rps. d'ailleurs, je te dirais même que j'aime beaucoup ce petit pawel, il donne envie qu'on le sert dans es bras et tout, le petit, avec ce qu'il a vécu en tout cas, ton écriture est fluide est très agréable à lire. et même si le coup de la mère pédophile est assez ignoble, c'est plutôt original, j'avais encore jamais vu ça... fin bref, content d'avoir une belle plume de plus parmi nous

toutefois, avant que tu ne puisse gambader librement parmi nos terres aphrodisiaques, pays de tous les rêves et des vices, il va falloir que tu passes par quelques dernières étapes. mais, crois moi, mon petit lapin rose, t'as déjà fait la plus grosse partie du boulot. commence donc par te contempler dans ce beau miroir pour t'extasier sur ta sublime personne et être heureux du pack graphique que t'as offert cette grande nature à ta seule et unique personne et que jamais personne ne pourra te voler ça (sauf en te défigurant, mais ça c'est une autre histoire). une fois que c'est fait, fais un petit tour dans le coin et n'hésites à pas à faire quelques réclamations pour améliorer ton petit confort ou quoique ce soit. maintenant que t'es installé tu peux désormais débuté une vie sociale, oui je sais ça peut faire peur comme ça, mais c'est moins difficile qu'on ne le croit. tu peux même te faire un inventaire pour nous montrer à quel point tu es une personne organisée.

et voilà, tu as maintenant officiellement l'honneur de pouvoir venie me harceler à la moindre question ou plus si affinités

et que la force soit avec toi, Invité :poussin: