Nom Complet / Judith Ekaterina Baranov (Au choix, prénom ou deuxième prénom ukrainien)
Âge / 21 ans.
Date de Naissance / Au choix
Lieu de Naissance / Kiev, Ukraine
Localisation / Paris
Profession ou Études / Serveuse.
Situation Financière / Stable.
Orientation Sexuelle / Pansexuelle..
Statut Social / Célibataire.
Groupe / Au choix mes chéris, même si je la vois plus avec les Rebelles qu'avec les Beatles.
Échappatoire / Vicieuse à grands coups de joints et de whisky.
Avatar / Cara Delevingne .

Précisions du Créateur / Bonjour mes petits amours Merci de lire la fiche de ma petite Judith qui me tient particulièrement à coeur parce que c'est une fille extraordinaire (si, je vous jure). L'histoire n'est pas très libre mais on pourra toujours revoir certains détails :3. La relation avec ma petite Ana est importante,donc non-discutable à part si elle vous gêne vraiment. J'aime beaucoup Cara pour l'avatar mais on peut toujours en discuter aussi (quoique, j'espère que vous aurez de bons arguments). Pour le nom, vous pouvez le changer aussi, j'ai jamais d'inspiration. Que dire d'autre ? J'aimerais vraiment quelqu'un qui aime son perso et qui le lâche pas comme ça. Je demande pas non plus un niveau RP extraordinaire -ce serait plutôt hypocrite de ma part. Sooo... Viens vite dear love, je t'attends dans mon lit mes bras grands ouverts .

« Tu ris. Tu cris. Tu pleures et tu gémis. Tu ne sais pas ce que tu fous là. Tu ne les connais pas ces sales cons. Ils sont grands, totalement effrayants. Pourquoi te regardent-il avec ces sourcils froncés ? Pourquoi ta mère te rassure comme si tu n'étais rien ? Mais tu n'es rien. Tu n'es qu'une enfant de vagabonde. Tout le monde le sait, tout le monde te méprise, tout le monde te méprisera. Mais qu'est-ce que tu fous là, dans ce pays qui ne veut pas de toi, dans ce pays que tu détesteras ? Pourquoi a-t-il fallu que ton père, ton père soit un alcoolique chronique qui battait sa femme ? Pourquoi a-t-il fallu que ta mère sois si courageuse ou si bête ? Elle aussi tu la détestes, elle aussi tu la détesteras. Ton coeur ne sera que haine et orgueil envers quoi que ce soit, envers tout le monde. Tu insulteras ceux qui t'ignorent et encore plus ceux qui t'aiment. Tu feras de tes mots des jets d'acides et de tout ton entourage tes victimes. Tu ne deviendras qu'une adolescente en souffrance qui évoluera dans la rue, sur les trottoirs des beaux et des mauvais quartiers, derrière les vitrines des bars et des grands créateurs. Toi, avec ton visage si froid et ta crinière blonde. Toi et ta mère sans-papier. Tout semble faux chez toi. Tes sourires, tes rires. Tu es fausse, tu es arrogante. Tu le sais, tu en joues, tu emmerdes le monde. Le collège puis le lycée, qu'un gros tas de fumier. Tu n'apprendras jamais rien, tu le refuses. Tu n'es pas née ici, hors de question d'apprendre quelque chose de cette patrie qui n'est pas la tienne. Personne ne te comprends, tu te forces à parler avec cet accent roucoulant, à employer les mots de ta mère à tout bout de champs. Même si tu lui en veut, tu l'imites tout le temps. Pourtant elle, elle l'adore ce pays, ce boulot de femme de ménage chez ces bourges trop conciliants. Alors tu l'ignores. Et tu continues à toujours rejeter la société et le bonheur avec elle. »

« C'est lui ou eux. Ana. Aaron. Ou revoir ton père. Celui dont tu ne connais rien, dont tu veux tout connaître. Tu ne l'as jamais vu. Les photos ont été brûlés, les souvenirs effacés par les larmes de ta mère. Mais tu t'en fiches. Tu le veux, tu veux juste lui parler, comprendre, savoir pourquoi. Si ce n'est pas à ta mère que tu ressembles, c'est bien à lui. La curiosité l'emporte sur le nombre d'années passés avec tes deux amis, tes deux amours. Tu sais très bien que si tu pars pourtant, rien ne sera pareil. Tu sais très bien que si tu quittes la France tu ne reviendras pas. Et deux jours plus tard tu étais parti à Kiev avec la conviction que tout irait mieux désormais. »

« Mais tu t'es lourdement trompée, tant et si bien que t'en chialerais presque. Ton père n'est que celui que ta mère te peignait tous les jours alors que tu lui hurlais d'arrêter. Ton père n'est qu'un salopard. Et toi tu rentres en France comme dans tes cauchemars. Toi, tu retrouves la rue, ton vieil appartement. Ta mère est resté dans sa famille alors que toi, tu n'avais absolument rien à foutre en Ukraine. La chose est tellement ironique, non ? Tu te retrouves seule dans cette ville que tu clamais détester et ta mère l'a quitté alors qu'elle était l'amour de sa vie. Tu ne sais pas comment tu vas t'en sortir et pire encore ; tu t'en veux. Tellement. Tant que tu te perds dans le Wasteland entre deux joints, que ton appartement n'es plus que l'ombre de ton enfance désenchanté. »

Ana D. Rosebury. Un de ses deux amours. Sans qu'elle le sache vraiment, Ana a su la soigner, ôter tout ce courroux obsolète. Elle l'a aimé à en crever, si fort que s'en était au-delà de toutes les règles de bienséance. C'était réciproque. Puis elle l'a quitté. Elle a fermé tout accès à son coeur pendant trois ans, s'est interdit de penser à elle, à lui. Maintenant qu'elle est de retour, elle compte bien la retrouver et reconquérir son coeur. Même si du côté de la brunette, revoir Judith s'apparenterait plus à du supplice qu'autre chose.

Aaron Rosewood; Avec lui, ça a toujours été purement et simplement charnel. Mélangé à une fascination mutuelle, il n'ont jamais été réellement amis. Ils ont toujours su que l'un finirait dans le lit de l'autre, qu'il n'y aurait que du sexe et de l'adoration. Ils ne parlaient pas - à quoi bon ? Tout ce qui comptait c'était les conneries, les fêtes et le plaisir. S'il y a bien un corps qu'elle a regretté pendant tout ce temps, c'était le sien.

Nom Complet / Aaron (nom au choix)
Âge / 22 ans et demi.
Date de Naissance / Au choix;
Lieu de Naissance / Londres, Angleterre.
Localisation / Londres, Angleterre.
Profession ou Études / Plombier
Situation Financière / Correcte.
Orientation Sexuelle / Pansexuel
Statut Social / Célibataire.
Groupe / Au choix.
Échappatoire / Vicieux..
Avatar /Harvey Newton Haydon

Précisions du Créateur / Re-coucou so pour Adam, beaucoup de choses sont négociables. Son nom et son avatar. Même si cet homme est carrément sexy, je suis ouverte à toute proposition. J'avais pensé à Sid Ellidson aussi... Comme vous voulez. l'histoire est libre en comparaison de la demoiselle d'en faut. En faiiiiiit, vous pouvez pratiquement en faire ce que vous en voulez de notre bonhomme mis à part ce qui concerne les relations et les quelques points de l'histoire. Je le vois plutôt libertin, enfantin, immature, rebelle et borné. Faîtes en quelqu'un d'exceptionnel

« Toi tu n'as jamais aimé tout ça. Les paillettes. Les salons de thé de maman et les livres de papa. Toi tu n'as jamais été comme ça, tu n'as jamais voulu de cette vie que tant tuerait pour l'obtenir. Toi, tu préfères largement la bonne avec sa cinquantaine d'année et sa simplicité. T'en as mis un temps pour comprendre que c'était pas ta mère. T'en a mis un temps pour comprendre que t'étais piégé dans cet univers qui ne te ressemblerait jamais et que tu étais pourtant bien obligé de supporter puisque derrière tout ça, l'étiquette "Famille" trônait. Mais tu ne deviens qu'un petit con et tu t'enfuis. Tu pars en France chez ta tante, celle qui te traite comme un adulte alors que t'as pas trois poils au menton et qui aurait bien voulu se taper ton père à la place de ta mère. Tu l'adores, elle t'adore, tes parents décident de te foutre la paix jusqu'à ta majorité. Tout va bien, pour une fois. »

« Ca fait bien longtemps que tu t'es pervertit petit Aaron. Ca fait bien longtemps que tu t'es plongé dans la drogue et dans l'alcool avec ces deux filles et t'adore ça. Ta tante s'en contrefout, te traite de garçon responsable pour aller fumer son dernier pétard. Et tes parents finissent par le découvrir. Evidemment. Alors il te font rentrer et papa passe un temps fou à te sermonner à grand coups de ceinturon alors que maman pleure à chaude larme son petit garçon disparu. Parce que c'est exactement ça, Aaron. Tu t'es perdu... ou tu t'es trouvé. Tel un serpent, tu as mué dans une nouvelle peau qui te fait du bien, qui te fait du mal. Et encore une fois tu fuis. Chez ta grand-mère cette fois. Elle t'accueille, elle injure tes parents, tu souris. Tu te saoules du Wasteland alors que t'apprend ton métier de petit plombier. Parce que cette vie, tu l'as largement choisie. »

Judith E. Baranov. Avec elle, ça a toujours été purement et simplement charnel. Mélangé à une fascination mutuelle, il n'ont jamais été réellement amis. Ils ont toujours su que l'un finirait dans le lit de l'autre, qu'il n'y aurait que du sexe et de l'adoration. Ils ne parlaient pas - à quoi bon ? Tout ce qui comptait c'était les conneries, les fêtes et le plaisir. S'il y a bien un corps qu'il a regretté pendant tout ce temps, c'était le sien.

Ana Rosebury. C'était comme son frère, elle était comme sa soeur. Incompris, ils se sont trouvés en premier, ont tout fait ensemble. Leur amitié s'est mué en amour, cet amour en destruction. Puis est arrivé Judith et avec elle les engueulades perpétuelles, l'incompréhension, la jalousie, l'alcool, les baisers et encore les engueulades. Ils n'avaient rien à foutre ensemble ; s'ils ne s'adoraient pas autant, ils se détesteraient. Depuis qu'Adam a dit au revoir à la France, ils ne s'adressent même plus la parole dans le Wasteland. C'est à peine s'ils se regardent, s'ils osent emprunter le même chemin. Ils en ont mis du temps à se retrouver, et pourtant... pourtant, même si des fois la terre enchanté est témoin de leur course poursuite permanente, ils sont loin d'être prêt à avoir une conversation d'adulte. En ont-ils déjà eu une ?