Nom Complet / Telesia Jolien Peace Âge / 21 ans Date de Naissance / 1 janvier Lieu de Naissance / Amsterdam Localisation / Paris Profession ou Études / Vagabonde fouteuse de merde , bibliothécaire à temps partiel Situation Financière / Dans les parties du bas. De quoi se payer ses cigarettes et sans domicile fixeOrientation Sexuelle / Bi Statut Social / Mariée à son briquet Groupe / Pink Floyd: Échappatoire / Vicieux. Avatar /Juno temple

Signe distinctif / Piercing au nez
Phobie, Manie, Tic / Éteindre ses mégots sur les bras des gens , claustrophobie et se mordre les doigts
Langue(s) parlée(s) / Néerlandais , anglais et un français bien massacré
Origines / Néerlandaise
Religion / Athée.
Opinion Politque / Tant que on m'empêche pas de fumer. En gros j'en ai à rien faire
Modèle, Idole, Inspiration / Inspiration de l'enfer lui même
Style Musicale / Rock
Musicien favori / J'en ai pas vraiment la musique n'est pas ma plus grande passion.
Chanson favorite / Lithium - Nirvana
Auteur favori / Trop indécise
Livre favori / Travaillant dans une bibliothèque de temps en temps , oui étonnamment , j'ai lu des tas de livres que je ne serais décidé lequel j'ai préféré.
Réalisateur favori / Tim Burton
Film Favori / Edward aux mains d'argent
Devise / Live Fast and Die Young
Objet fétiche / Son sac-à-dos brun parsemé de trous qui ont été couvert par d,autre morceaux de tissus. Elle y traîne sa vie en fait étant une vagabonde sans domicile.
Plus grande peur / Retourner à Amsterdam
Plus grand secret / Télésia n'est qu'un long secret indéchiffrable . Personne ne sait d'où elle vient , son passé et ce qui l'a amener ici.
Plus grand rêve / Qui a parler de rêve ? Même s'ils sont peu nombreux elle aimerait tirer profits pour son talent pour le dessin.

Que pensez-vous du Wasteland /Un endroit magnifique , une pure drogue en animation . J'ai besoin de cet univers tout les jours faut croire.
Comment l'avez vous découvert / Par simple et pure hasard après mon départ de Amsterdam. J'étais sur un sofa chez un « ami » et il me semble que tout est devenu plus beau et différent.
Que pensez-vous du Gourou / Hum j'aimerais déjà vous dire à quoi il ressemble , mais je ne me rappelle pas avoir vu son visage comme il le faut. Et je crois en avoir rien à faire sans doute de ce monsieur , comme chaque personne qui peuple cette planète ou l'univers.
Que pensez-vous de votre Guide / Mon guide ? Je n'ai même pas pris la peine de connaître son nom, Je lui ai infligé un surnom sans plus. Je ne l'ai pas encore vue et je crois que je ne le porterai pas dans mon corps. La routine habituelle quoi.
Parlez-nous de votre échappatoire / La meilleur chose qui puisse me tenir en vie. Oui car sans doute je dois être une âme dans un cadavre. Ce que je préfère c'est en abuser frôler l'overdose et rester un long moment dans ce monde qu'on m'offre qu'on appelle le Wasteland.

Pseudo /Tweetyfruity Prénom / Gabrielle Âge / 16. Pays / Québec Présence /Je suis un peu trop souvent là habituellement Avis sur le forum /Classe Comment t'es arrivé ici? / C'est un nain qui me l'a montré Ange ou Démon? / Ange.. Double-Compte / Non Un p'tit mot en plus / Bloup!.

Le compte à rebours était lancé et le temps tombait. Une marque sur ta peau , une brûlure sur l'épiderme un frisson sur la colonne vertébrale. Des gouttes de sang perlant , finissant par sécher de leur état pure contre le bois. Respiration haletante , raclement de gorge brûlant à petit feux. Question d'heure ? Question de minutes ? Une chose est sûr les lumières se sont éteintes. La lueur de la lune flotte sur ta peau laiteuse. Tu tes fracassé , tu as éclaté en mille morceaux , petite poupée de porcelaine. Tout st une brise , tu es tombée tout est finis , ta poitrine est prête à exploser.Prête à se dissiper ? Tu fermais tes paupières. À quoi bon il est déjà trop tard...Brûler moi et noyer vous dans mes larmes.

Première étape.

Des jours qui ne ressemblent qu'à l'ombre des nuits Des silences qui résonnent à l'âme comme un cri Quand les paupières n'ont même plus la force des orages Quand, porté par les flots, je ne vois plus rivage Des amours qui sont nées aux mauvaises saisons Quand l'printemps a tardé à ouvrir ses bourgeons Des lunes toujours pleines qui ne me sourient plus Comme jouer aux échecs quand la reine est perdue

Pluie torrentielle , un mur de pluie dansant avec les âmes qui arrivaient peine à se dissimuler. Manteau noir dévalant sur un corps squelettique aux chaussures noires qui frappaient le trottoir. Chevelure blonde écrasante sur tes tempes créant l’illusion de tes yeux derrières la couleur de blé . Derrières les vitres tu les observaient d'un sourire malicieux balayé par ton visage limpide. Telle un zombie tu avais déjà l'aire d'un corps abandonné qui avait retiré son dernier souffle depuis plusieurs saisons. Odeur répugnante venant agressé tes narines , cigarette à la commissure de tes lèvres laissant pourrir ses cendres à tes pieds. «Les gens sont bizarres...»Une présence s'inclinait vers tes paroles les points d'interrogations sur la visage. Ton doigt pointait une jeune femme et homme attablé à une table se faisant les yeux doux. «Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants qui ruinèrent leur vie.» Tu te mis à rire continuant tes pas vers les flaques d'eaux et ton amie qui te suivait de proche. Les lampadaires tamisaient votre chemin et tu t'arrêtais à chaque fenêtre présentant ton avis sur leur avenir. Sur leur présent inachevé que tu déversais les dernières lettres.«Il va la dépuceler et la laisser en pleure à son réveille»Tu peux bien sourire et rire à leur naïveté si délicieuse , mais tes idées en baignent tout autant seulement elle n'imprègne plus ton visage. Mouillé jusqu'au aux os chaque partie de tes membres ont perdue leur moindre parcelle de chaleur se transformant en un morceaux de glace. Tes frissonnement cristallisaient ta peau , mais les rougeurs ne revenaient pas. La jolie brune qui te suit à pas de chat tremblote une lampe de poche à la main et accroche ton bras enfonçant ses ongles rongés sur celui-ci. Le temps de rentrée ? Non les étoiles sont à peine lever. Les rues ont finit par déboucher sur un parc trempé et d'arbre brasant leur multiples branches munies des feuilles rougeâtres. Un homme pendu à ses pensées flotte sur un banc. Les mains jointes un joint est retombé sur le sol ayant perdu le feu vif .Capuche rabattu les traits s'enfoncent dans la noirceur , mais deux prunelles te brûlent de l'intérieur. Tu viens te déposé à ses cotée écrasant ton mégot.«Les psychopathes ça courent les parcs ?»«À toi de deviner.» Suave le ton tintait entre les gouttes qui ruisselaient sur tes joues. Le silence tombait et le vent frottait à vos tympans et à moment il se retournait retirant une marque noir de son pouce en dessus de tes yeux. Mascara sur la peau glaciale ton sourire taquin s’attisait à l'inconnu. «Les jolies blondes ne sont pas sensé être des créatures toute innocentes ? Plutôt que d'une bête digne des ténèbres.» Accroché tel des aimants les secrets voulaient être voilée , mais les clef restaient à leur place. «Qui a dit que je n'étais pas le contraire ?»Les illusions s'empilaient et tu continuais d'effriter ta forge de tes rires alors qu'il les accompagnait. Tu te relevais et tu repartais sans la moindre trace d'un mot. D'un papier à l'intérieur de sa paume , pas même un regard. «Je te retrouverai jolie blonde...»

«T'a tout ce qu'il faut ?» Tu tapotais ton sac remplis de substances thérapeutiques. Vous partiez là comme deux bon voyageurs vers les endroits inconnus à la recherche des mendiants de vos merveilles. Ce n'était pas la première fois que vous jouez à ce jeux là. Les cartes sont si facilement déposer et souvent il gagne la partie.Points faibles étalés ce n'est qu'une question de minutes. Amitié était ce le nouveau vocabulaire de votre relation. La nouvelle étiquette qui ne tardera pas à changer au prochain coup de vent. Il t’effleurait de ses regards en coin et de ses pincements de lèvres. Tu rentrais dans les jeux des histoires que tu inventais à ces passants.Toute fois l'encre qui coule sur les pages du romans enroule des branches mystérieuses et incertaines. Prêtent à t'arracher à tout moment une partie.«Où tu vas comme ça ?»Les tons s’alarmaient autour de toi et particulièrement celui de ton amie.Tu lui plaçais un joint entre les lèvres en lui filant un sachet de cocaïne à la main.Doigt déposé sur sa lèvre supérieure. «Chut...Aller viens !» Un autre parcours , cette fois à trois. Immeuble dessinant sous les nuages sombres , il grimpait à l'escalier de fer et ramenait les deux femmes. «Tes qu'un putain de con! Télésia on s'en va» Tu farfouillais dans ton sac et tu lançais une seringue et la quantité suffisante sous ses prunelles inquiètes.«Ta qu'à avancer ton bras Billie ça fera pas de mal je te jure.» L'huile venait d'être jeté sur les flammes , mais les conséquences font déjà surface sous tes yeux aveugles.Elle jure , mais ses cries ne font que passer telle une brise à tes oreilles et tu refile à ton nouvel ami l’héroïne pour qu'il l'injecte lui même sur ton avant-bras. Soupire divin tu en renverse presque la tête en voilant tes pupilles sous tes paupières closent. Tu ignore où tu trouve certes ces détails ne sont plus le fruit de l'importance. Des bruits fort éraflent les murs et tu osent les ignorer jusqu'à ce que une porte craque.«HEY VOUS TROIS LÀ»L’alarme est sonnée. C'est la course à la montre pour sortir de l'appartement déjà occupé et vous courrez deux dans la folie alors qu'une autre prend rapidement la prochaine rue en criant qu'elle vous déteste. La prochaine ruelle est prise et tu te retrouve coincée entre les briques contre son souffle chaud. Il touche la mince fissure sur ta chaire.Si proche . Trop proche. Ta respiration se dissipe. «Au revoir boucle d'or...»

Contre un vieux matelas , les murs miteux semblent dégringolés. C'est terrifiant , mais obsédant. Tu prends les chemins dangereux et tu n’érafle pas tes pieds sous des petit pas. Tu pousse trop loin. Tu ne veux pas et tout ne c'est pas éclos. Tu ne suis pas son courant comme il voudrait et pourtant tu l'attire encore vers toi. Il fond et tu t'endurcis. Tu fuis il revient. Plus tu voudras quitter plus l'encre coulera , plus l'histoire avancera. Car il n'a pas d'issus , car il est déjà trop tard. Impossible de reculer les horloges , les actes sont inévitables. Vouloir souffler la chandelle et déchirer les feuilles remplies des mots de ces chapitres. Remplies de tes geste , remplies de tes paroles et les parcelles de toi que tu as oublié. Il plonge ses mains sur la chute de tes reins et tu te raidis . Il te vole un baiser que tu ne décide que de n'y goûter à peine , même si tu souris malicieusement en te prenant au jeux. «Belle blonde...»Ne serait-il pas si facile de lui faire une simple requête. Tu l'as attrapé , dans un filet dont toi même il t'était encore inconnu aujourd'hui. Tu soupires contre son cou et tes poings se ferment et tu t'allonge. La position te permets de te glisser contre le matelas et de sortir d'entre ses bras et tu te colle contre un mur râpeux. «Peureuse ?»Tu penche ta tête de cotée , comme une dingue et il revient à toi. Caressant l'une de tes cuisses au besoin de te serrer. Serrer la jolie blonde qui l'envoute de son visage digne des grandes déesses. «Tu rêves en couleurs...»Un ton sec et presque cruelle au bout de ta langue griffant tes dents. Tu par la suite évaporer , mais derrière toi tu as déclencher la vapeur. Fais attention les secondes sont comptés. Le sablier est de nouveau tourné.

«T'avais promis...»Les perles salées reluisent sur ses joues tombant sur ton t-shirt et ton cœur cogne dans ta cage thoracique . Tu n'as pas écouté les signes. Tu n'as pas attendus les avertissements , l'interrupteur est enclenché. Tes poignets prient à l'intérieur de ses mains fermes et violentes désillusionner par la rage. Les sanglots te brûle l'estomac , mais il n'est pas question de tenir qu'à un file et de verser ses larmes. Pourtant tu le sais que l'heure est arrivé. La lame joue proche de toi et il redouble sur sa tristesse. Le liquide chaud et rouge coule déjà sur ton cou et tu sens une larme rouler et se mêler au sang qui ne deviendra sans doute que poussière. «Lâche moi...»Pathétique comme demande. Ta vie est menacée demain n'existera pas tu siègera entre deux draps blancs. La flaque rouge t'attend il suffit de couper une nouvelle veine ou de rejoindre ton organe centrale qui s'affole.«Tu me rejette je t'emporterai avec moi dans ma tristesse...»Les mots , les deniers qui ont paru claire avant que tu sente le métal froid attaqué ton visage et a de multiples reprises d'autres endroits. Au revoir la lumière. Au revoir la famille. Au revoir je suis partis dans la folie d'un amour qui lui était interdit.

C'est quelques jours plus tard que Télésia est sortie de l'hôpital avec plusieurs cicatrices et avoir perdue beaucoup de sang. Après avoir presque été assassiné et il n'a pas eu de l'ombre de doute pour prendre le vole le plus loin possible de sa ville natale.

Je m'appelle Télésia , j'ai 21 ans. Je n'ai pas de parents et j'ai été placé dans des familles d’accueillies toute ma vie. Droguée et fumeuse compulsive j'ai failli mourir , mais c'est seulement les cicatrices que je garde. Et non la marque sur mon visage.